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Voilà pourquoi le peuple algérien doute…

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Exemple, celui de l’énergie, parmi d’autres, très nombreux qui touchent à la vie des citoyen: la ville désorganisée, chaotique, les déchets qui débordent de partout, qui tuent mer et oueds, l’eau gaspillée, les équipements publics mal entretenus, les services publics mal gérés et sous-équipés et voilà que l’on veut rendre sa « liberté » au peuple -écoutant le « patron des patrons » en privant les classes populaires de subventions des denrées les plus essentielles.

Revenons à la « politique » énergétique du pays.

Un récapitulatif sommaire sur une douzaine d’années donne un aperçu de l’ordre politique algérien : incohérence, incompétence, déficit d’information, dilapidation des ressources du pays… fragilisation de notre souveraineté mise à la portée de nos ennemis qui piétinent à nos frontières attendant le moment propice pour fondre sur les richesses qui nous restent que nous administrons et préservons si mal.

Le peuple algérien n’est pas idiot.

Il n’est pas prêt à se jeter dans les bras de n’importe quel illusionniste de la « liberté » et de la « démocratie », ces mots galvaudés, vendus aux imbéciles, comme les mots à la mode bricolés par les technocrates à la mord-moi l’oeil, comme « start-up », « vision prospective », « valeur ajoutée », « management prospectif », « storytelling »… Ces mots qui donnent un verni d’intelligence aux rhéteurs qui les ont plein la bouche.

Des mots creux lorsqu’ils ne sont pas définis, incarnés dans une politique planifiée, projetée qui donne des résultats contrôlables, à chaque échéance définie et déterminée à l’avance au vu et au su de tous les citoyens.

Ce que le peuple algérien veut ce sont des dirigeants qui mouillent la chemise et qui cessent de bavarder et de papillonner d’un sujet à l’autre, un peu comme ce président de cette institution à géométrie variable qui se mêle de tout en empiétant sur les prérogatives des ministères sans que l’on sache d’où il vient et où il va, amusant la galerie et sautant de plateau en plateau des médias.

Il nous faut des institutions qui fonctionnent de manière transparentes et mesurables par le peuple à l’échelle la plus proche de lui, là où il peut constater ordinairement, quotidiennement, modestement que ceux qui les gouvernent ne le paient pas de mots.

Militaires, pas militaires… on s’en fout.

Ceux qui veulent nous vendre aux sionistes savent bien que cette « entité » est une gigantesque caserne peuplée de troufions venus de toutes les casernes de la planète, armée par toutes les industries militaires occidentales. Cela n’empêche pas la plupart des élites aliénées de ces pays soumis, intellectuellement asservis, de glorifier les sionistes et de tisser des relations diplomatiques et militaires avec eux.

Bien le bonjour chez vous.

Djeha, mardi 23 novembre 2021

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