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La police politique : résurrection du toufikisme
Avec le retour en activité de certains proches de Toufik, on assiste depuis plusieurs semaines à la réactivation des anciennes méthodes de manipulation dans le but d’enrégimenter et de contrôler l’opinion des citoyens.
La diversion : une technique primordiale de la manipulation
La diversion est une technique de manipulation qui repose sur un flux continu d’informations inutiles et absurdes (Chema VS Covid19, distribution d’exemplaires de Coran aux médecins…). La diversion vise à éloigner l’attention du peuple des vraies questions.
Il faut distraire le citoyen, occuper son esprit en permanence et l’empêcher de penser et de réfléchir.
Réduire la vie politique à un spectacle
Depuis l’indépendance, la vie politique est marquée par une sécheresse démocratique et d’exclusion totale du peuple du processus politique.
Lire : Hirak : ouvrons le débat démocratique !
Pour combler ce vide sidéral, à travers la police politique, il cherche à réduire la vie politique à un interminable spectacle digne de la Comedia dell’arte. La police politique écrit le scénario, distribue les rôles, choisit les acteurs (ministres, walis, pseudo-intellectuels, pseudo-journalistes…).
La diabolisation de la région kabyle
La police politique utilise les méthodes les plus funestes pour isoler la Kabylie en la diabolisant. Pour atteindre cet objectif, il a mobilisé une armée de Dhoubabs, de journalistes mercenaires, de chefaillons de partis…
Aucun de ces aboyeurs haineux et racistes n’a été inquiété par la justice aux ordres. Pendant que des militants et citoyens les plus sincères sont condamnés à la prison pour atteinte à l’unité nationale.
Débat ou guerre de tranchées ?
Il y a deux sortes de débat, ceux qui mènent à des impasses et favorisent la continuité du système et ceux qui cherchent à explorer de nouvelles pistes pour construire une Algérie libre, démocratique et sociale.
La police politique attise les contradictions et les divergences politiques qui traversent la société et les oriente vers des voies sans issues. Les termes de ces débats ne tiennent évidemment pas compte des évolutions sociopolitiques qui ont traversé notre pays ces 20 dernières années.
Il va sans
dire que le débat peut revenir sur telle ou telle période douleureuse de notre
histoire collective, non pas pour s’y enfermer, mais pour en tirer les leçons.
Il faut le dire et le répéter, c’est la gestion autoritariste et brutale du
pouvoir qui a fait le lit des intégrismes et des extrémismes de toutes sortes.
Il y a un débat primordial, c’est celui qui doit porter sur la définition des principes démocratiques sur lesquels doit se fonder la cohabitation des pluralismes politiques, culturels et linguistiques qui traversent la société algérienne.
Toutes les expériences de transition de la dictature à la démocratie sont passées par cette phase cruciale.
Le débat doit veiller également à préserver les avancées historiques obtenus par le Hirak (chute du mur de la peur, naissance d’identités collectives, réhabilitation de figures historiques bannis par le pouvoir…).
Dans cette période de turbulences que traverse le Hirak, le débat doit être apaisé et obéir aux principes de la tolérance et du respect de l’autre. Les insultes, les invectives, les intimidations, les tropes communicationnels doivent céder la place aux arguments, à la tolérance et au respect de l’autre.
Dans ces conditions, le débat ne peut être que vertueux, parce qu’il va familiariser les Algériens au débat contradictoire, à la normalité des divergences politiques propres à toutes les sociétés. Cela s’appelle l’acquisition de la culture démocratique. Les manifestations populaires durant plus d’un an ont montré des signes encourageants dans ce sens, comme peut l’attester le niveau civisme et de maturité qui lui ont attiré l’admiration du monde entier.
Restons optimistes, mais toujours vigilants. Face à la faillite du pouvoir sur tous les plans, nous sommes condamnés à réussir.
Abbes Hamadene
Les Doubabs activant dans votre site dzvid sont sous les pseudonymes : Merad, Mesnad, Citoyenne, Ugo… Sans le savoir, ils travaillent pour nous. Ils nous aident à ressouder nos propre rangs.
Désolée pour vous le paranoïaque vous pouvez monter toutes les affubulations que vous voudrez et finir par y croire je suis une honnête citoyenne -pseudo choisi pour ça -et si mes opinions ne vous plaisent pas je m’en moque ! Le jour où vous accépterez des avis contraires aux votres sans passer par des accusations grotesques qui montrent votre immaturité politique et un manque total de respect !si c’est ça un « démocrate » merci bien ! Je continuerai à donner mon avis en citoyenne avec mon libre arbitre mes idées et mes réflexions Vous n’êtes pas un béni oui oui vous… Lire plus »
HÉ LA VERMINE ! JE PEUX MÊME TE REFILER MON ADRESSE SI ÇA T’INTÉRESSE …
C’EST GRÂCE AUX DÉLATEURS COMME TOI QUE LA FRANCE COLONIALE A PU S’INCRUSTER PENDANT 132 ANS EN ALGÉRIE ! CETTE MANIÈRE DE FAIRE EST DANS L’ADN DE TOUS CEUX QUI NE SUPPORTENT PAS LA CONTRADICTION ET QUI ÉTAIENT DÉJÀ CELLE DES HARKIS …
PAUVRE TARÉ DE BENI OUI OUI : TU PORTES BIEN TON NOM QUI PUE LE » COLLABORATIONISME » …
Donc tous ceux qui ne partagent pas vos points de vue sont des doubabs! Belle mentalité d’ouverture d’esprit, de liberté d’expression, de débat contradictoire et de démocratie!
Dialogue de sourds et accusations gratuites. .. il faut lire les messages jusqu’au bout dans un premier temps et comprendre ce que l’auteur dit ensuite. Refuser le droit d’exprimer son opinion à quelqu’un car non conforme à la sienne relève d’une forme d’esprit sectaire et fermée. Lancer des accusations fondées sur du vent relève d’un manque total de réflexion positive. je vais être très claire : je n’interdis à personne d’exprimer son opinion ce que je réclame pour moi je ne peux le refuser aux autres. Je considère les divergences d’opinion constructives tant qu’elles restent dans un cadre de respect… Lire plus »
HÉ LA VERMINE ! JE PEUX MÊME TE REFILER MON ADRESSE SI ÇA T’INTÉRESSE . EN FAIT LA DÉLATION EST UN PROCÉDÉ QUI EST INSCRITE DANS L’ADN DE CELLES ET CEUX QUI ONT EN SAINTE HORREUR LA CONTRADICTION , MARQUE DE FABRIQUE DE TOUTE DÉMOCRATIE SAINE . LA FRANCE COLONIALE N’AURAIT D’AILLEURS PAS PU S’INCRUSTER DURANT 132 ANS EN ALGÉRIE SANS CETTE IGNOBLE PRATIQUE À LAQUELLE RECOURAIENT LES HARKIS . PAUVRE TARÉ DE BENI OUI OUI ! TU PORTES FINALEMENT BIEN TON NOM QUI PUE LE CRÉTINISME ET LE COLLABORATIONISME … TU ES À TA MANIÈRE UN HARKI DE L’ALGÉRIE… Lire plus »