Le chef d’Aqmi Abdelmalek Droukdel a-t-il vraiment été tué au Mali ?

L’émir terroriste Abdelmalek Droukdel, le chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a-t-il vraiment été tué par l’armée française, comme cela a été annoncé par la ministre français des Armées Florence Parly ?

« Selon des Touaregs maliens du nord, la réunion qui devait se tenir à Tagharghar en présence de nombreux chefs terroristes n’était qu’un leurre et Droudkel n’aurait pas été tué », écrit ce dimanche 7 juin la journaliste Salim Tlemçani d’El Watan, dans un tweet, en ajoutant que le chef d’Aqmi Abdelmalek Droukdel « serait toujours en Algérie ». 

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La réunion à laquelle devaient participer Abdelmalek Droukdel, alias Abou Moussâb Abdelouadoud, et de nombreux autres chefs terroristes au Nord du Mali n’était qu’un « leurre » et que Dourkdel n’aurait pas été éliminé.

En effet, ce n’est pas la première fois que le chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Abdelmalek Droukdel, est donné mort avant que l’actualité sécuritaire ne démente l’information.

Pour rappel, la ministre des Armées Florence Parly avait indique sur son compte Twitter le vendredi 5 juin que l’émir terroriste Abdelmalek Droukdel, le chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été éliminé par l’armée française lors d’une opération mercredi 3 juin au nord-ouest de la ville de Tessalit, au Mali.

« Plusieurs de ses proches collaborateurs » auraient également été « neutralisés », selon Florence Parly.