L’homme au couteau à éplucher les «mécréants»

Un musulman atteint du coronavirus qui sort dans la rue et qui éternue volontairement sur les passants en criant Allahou Akbar est-il considéré comme un terroriste islamiste ou bien tout simplement un résident contagieux ?

Il s’appelle Abdallah (l’être humain de Dieu), d’origine soudanaise, il a fui son pays le Soudan en guerre et au bord de la famine, pour se réfugier en France, pays en paix et au bord de l’explosion… nutritionnelle, du moins jusqu’à l’arrivée inattendue de l’invité surprise de Wuhan.

Aidé par le Secours catholique, il obtient le statut de réfugié puis un titre de séjour de dix ans ! C’est à ce moment précis que l’exégète soudanais «se plaint de vivre dans un pays de mécréants».

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Comme le coronavirus qui est né en Chine et qui un jour décide de se réfugier en Europe tuant des milliers d’européens, Abdellah lui, sans masque ni casque, sort dans la rue et tue deux personnes avec son couteau à découper le pain blanc, mais contrairement au Corona, Abdellah a crié Allahou Akbar !

L’homme au couteau à éplucher les «mécréants» est-il en colère contre les deux médecins français qui ont proposé de tester un vaccin contre le Coronavirus sur la population africaine ?

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Pourtant Didier Raoult, le professeur par qui la chloroquine est sortie de l’anonymat, est né au Sénégal et a même vanté l’intelligence «des Arabes et les Noirs» dans le domaine sanitaire…

Donc deux criminels diamétralement opposés mais avec un seul et même objectif : tuer le maximum d’innocents !

Le premier, un black costaud venu d’Afrique et visible de Djebel Koukou, le second tellement infinitésimale que même Bonatiro n’arriverait pas à le débusquer avec ses lunettes préhistoriques.

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Quel est donc le lien entre le virus de Khartoum appelée aussi «Trompe d’éléphant» et celui de Wuhan province de Hubei prénommée ville du poisson et du riz ? Le faux-moudjahid de Khartoum, gavé par le riz hallal de Omar El Béchir décide de se mettre aux poissons haram (non sacrifié) de Macron. Quant au plat préféré de ce vicieux agent infectieux, inodore et incolore : faire le maximum de victimes !

Fuir la vie pour mouriren bonne santé ?

Du côté de chez nous, très loin des règles de la raison et du rationnel, un chassé-croisé inimaginable s’est produit récemment dans un triangle algéro-espano-italien ! Pour comprendre, faut-il encore faire appel à plusieurs branches, telles que l’arithmétique bonatirienne, l’algèbre spirituelle et la géométrie méditerranéenne.

Ainsi donc, des harragas algériens interceptés à la Sardaigne aux côtes italiennes, berceau de l’épidémie du coronavirus. Jusqu’à preuve du contraire, un harraga normalement constitué fui la mort pour bien vivre. Là c’est le contraire qui se produit : fuir la vie pour enfin mourir en bonne santé ?

Dans le sens opposé, sur les côtes espagnoles, 12 autres émigrants algériens ont réussi à s’emparer d’un p’tit bâbord sans freins ni voile pour rejoindre la terre ferme qu’ils ont abandonné récemment.

Suppliés par la guardacostas de rester juste pour dîner, sans regarder derrière, la douzaine de voyageurs clandestins s’éloigne à toute vitesse, par peur d’être rattrapés par l’ancêtre des chauves-souris. Sacré virus !
N. Azzoug