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Ahmed Gaïd Salah ou le complexe du moudjahid
Ahmed Gaïd Salah, le vice-ministre de la Défense, qui gouverne le pays depuis l’abdication de Bouteflika, lâche dans la rue sa meute d’ultimes thuriféraires pour chanter ses louanges dans des rassemblements lilliputiens.
Ahmed Gaïd Salah, ce trublion de brousse qui s’est emparé du pouvoir central lors d’un énième putsch, se surprend à rêver d’un destin de dictateur qui, une fois la parodie de présidentielle terminée, pourrait asseoir sa domination et celle de la « bande » pour quelques décennies.
Si cela se produisait, à Dieu ne plaise, les foudres de sa colère, que l’on dit volcanique, s’abattraient sur tous ceux qui oseraient s’opposer à ses fantasmes hégémoniques. Ce travail de sape a déjà commencé par l’emprisonnement de tous ceux qui ne lui sont pas inféodés : politiciens, industriels, porteurs de l’emblème amazigh et, surtout, un glorieux rescapé de la Guerre de libération.
En effet, Ahmed Gaïd Salah et sa bande mafieuse veulent étouffer les dernières voix qui les rappellent à leur condition d’usurpateurs du statut de moudjahid et de voleurs de l’Indépendance chèrement acquise. Pour cela, il a mis aux fers le commandant Bouregaa aux premiers temps de l’insurrection citoyenne pour avoir «attenté au moral des troupes», un délit inventé de toutes pièces et appliqué servilement par des magistrats aux ordres. Pour ne rien arranger, un douktour, bavant de reconnaissance sur les rangers de son nouveau bienfaiteur, a même osé comparer le pâle Ahmed Gaïd Salah au glorieux moudjahid Ben Boulaïd !
Un jour, lorsque l’Algérie se sera libérée du joug de ses néo-colonisateurs, les langues se délieront au cours de procès réellement équitables et nous connaîtrons enfin les indignes exploits du tortionnaire et du violeur de toujours. Les Algériens ne sauraient supporter encore un roitelet usant et abusant des institutions comme il le ferait dans une caserne, en toute impunité. Dans la nouvelle Algérie, qui finira par s’émanciper de ses bourreaux, aucun crime ne saurait rester impuni. On élèvera des statues à Bouregaa et on ouvrira grand des poubelles pour d’autres…
ci vraiment a fait le maquis avec amour il ne sera pas assoiffés du pouvoir regarder cheikh Bourassa cet un exemple comme baucoup de vrai moudjahidins pour certain le pouvoir cet un art 1 jour il va mourir comme les autres et il prend rien avec lui et il répondra de cet acte devant dieu le tous puissan
Tahia eldjazair et tahia ANP ET VIVE LE GÉNÉRAL GAID SALAH.12 12 PLUS rien à METTRE à votre moulin à mensonges
Rien ne sera comme avant pour le clan des bandits.Les algériens connaissaient la nature du gang au pouvoir mais avaient les mains ficelées et ne pouvaient agir de peur de subir sa tyrannie.Le système se cherche une sortie pour préserver ses privilèges mais face à un peuple déterminé à stopper les injustices de ces pouvoirs de l’après indépendance.
L’encerclement du gang est Algérie, commencera le 24 Novembre 2019.
Je m’adresse au colporteur de ce sujet qui attribue à Gaid salah, le rôle de juda. Porter l’emblème d’amasigh est une violation de la constitution. Oui, monsieur. L’Algérie est un pays indivisible et à quiconque, cette idéologie ne lui conviendrait pas, il quitterais ce pays sans relâche. Ce pays,ou on l’aime,ou on le déteste mais les deux à la fois. Ce Gaid salah, est là pour justement, mettre les égarés non pas dans le bon chemin mais au trou.laissez le en paix et prenez soin de vos écritures et du vocabulaire choisi pour insulter cet homme assez vieux pour une… Lire plus »
GAiD SALAH est un vrai moudjahid qui est entrain de mener un travail salvateur et efficace contre les larbins d’issaba,les opportunistes de tous bords et les aventuriers politique et les policards qui veulent semer le doute sur les mesures louables qui préserve nt l’autorité de l’État et consolident les nobles principes fondamentales défini par la déclaration historique du 1 Novembre 1954
Le seul fait D’arme qu’on lui connaisse c’est la déroute d’Amgala où tant d’appeles inexpérimentés on étaient sacrifiés à cause de la nullité de leur chef.
Ont été
Cela ne fait que rappeler le triste souvenir de Mussollini qui a fini comme tout le monde le sait !